samedi 26 décembre 2009

Bonne Saison Sportive 2010







Le Coach Souihi Abde – Rrahim Voue Souhaite D’excellentes Fêtes De Fin D’année Et Bonne Saison Sportive 2010

vendredi 25 décembre 2009

EL Abdi, fondateur du TAS


Feu Mohammed El Abdi, militant nationaliste de la première heure, est le fondateur
de l’équipe du TAS. Un chantier laborieux dont Feu Larbi Zaouli a su assurer dignement la consolidation.
Vers la fin des années quarante, début des années cinquante, feu Mohammed El Abdi était l’un des grands hommes que les carrières centrales ont produit. Ce dernier était fort par sa personnalité, son dévouement et son abnégation. L’un des militants qui dédaignait les difficultés et relevait les défis. D’aucuns se souviendraient de la terrible guerre déclenchée entre El Abdi et un certain M. Rose que l’administration sportive de l’époque avait délégué afin d’attirer les jeunes des carrières centrales en les soudoyant et en tentant de les corrompre. Et c’est ce processus qui avait déclenché ce duel infernal entre El Abdi et M. Rose ou plus spécifiquement entre ce dernier et ce qu’on appelait à l’époque la ligue libre représentée par feu Abdessalam Bennani et El Abdi. L’administration coloniale qui dominait la ligue sportive de football n’autorisait les équipes sportives marocaines à jouer qu’à travers des lois très xénophobes. Ce qui a conduit les nationalistes à défier cette administration et à constituer la ligue libre qui rassemblait toutes les équipes des quartiers populaires. En dépit de toute cette lutte sportive acharnée, cette situation n’était qu’une simple image du fond de l’adversité qu’a connue le Maroc à une lointaine contrée pendant la laborieuse période coloniale. M. Rose, vaincu, avait fini par renoncer et réintégrer son administration. La victoire finale était donc revenue en outre à El Abdi et ses compagnons. En autre temps, celui-ci a constitué l’Ittihad Al Bidaoui, qui a produit de grands joueurs à travers toutes les générations et jusqu’à nos jours.
Lors du soulèvement qu’ont connu les carrières centrales en 1952 et 1953, le domicile d’El Abdi est devenu un hôpital de fortune. Un lieu de soins pour les blessés tout en servant d’abri discret pour les militants nationalistes. En effet, le four qui se trouvait au rez-de-chaussée était devenu un point de rencontre des membres de la résistance. Quant aux employés du four, ils accomplissaient des missions des plus coriaces de l’époque. Cependant, Mohamed El Abdi avait réussi sa lutte coloniale par conviction et était resté sur ses dispositions naturelles même quand il avait intégré le corps des agents d’autorité.
Il était tel qu’il était durant les années quarante, un vrai nationaliste, intègre et modeste et adroit jusqu’à sa mort. Quant au sort de l’équipe du TAS, elle fut remise entre les mains d’un autre nationaliste, Larbi Zaouli, joueur, entraîneur et dirigeant. Celui-ci a dignement porté le flambeau. Il a donné au TAS son cœur et son âme jusqu’à son dernier soupir. Ce qui aurait certainement soulagé Feu Labdi. De nos jours, l’équipe du TAS évolue sous l’égide d’une femme. Samira Zaouli est la première femme présidente d’un club de football.
Même dans les pires situations de crise financière, l’équipe de Hay Mohammadi poursuit
autant que faire se peut, son bonhomme de chemin dans l’espoir de renouer un jour avec soin passé glorieux et son vaste public dévoué.

dimanche 13 décembre 2009

BRAVO TAS GARDER LE CAPE !..


ET voila que l’équipe du TAS retrouve la vitesse de la croisière tout attendu, une vitesse vu au niveau du match TAS / RACHAD BERNOUSSI avec un jeu collectif nettement meilleure que celui d’auparavant et une certaine combativité recherchée depuis un bon moment
Espérant que notre équipe gardera le cape et assurera pour le reste des matchs du championnat

dimanche 15 novembre 2009

Felicitation à L'équipe TAS 1-0 M oujda


Hay Mohammadi, mémoire d’un quartier mythique ( WAC 0 – 1 TAS ) en 1955 au stade philip
Né dans les années 20, Hay Mahammadi a produit de grands musiciens, footballeurs et boxeues et hommes de théâtre.
Des lieux mythiques ont structuré le quartier :, terrain FAGAWAT et «Al Hofra» où évoluait l’équipe du TAS. Terrain Chapeau du père Ohtmane à coté du quartier LAHOUNA où évoluait plusieux équipes des carrières centrales, Dar Chabab, cinéma Saâda et cinéma Cherif
Casablanca sans son légendaire Hay Mohammadi serait comme une femme belle mais insipide. La ville blanche serait une agglomération sans âme. Le quartier qui abrite les Carrières centrales a sans conteste largement contribué à façonner le paysage culturel et social de la ville, voire de tout le Maroc. On n’imagine pas la chanson populaire marocaine sans les emblématiques Nass El Ghiwane, Lamchaheb,Siham,Tagadda ; le cinéma sans le talentueux Mohamed Miftah ; la chorégraphie sans Lahcen Zinoun ; le football sans l’équipe du TAS et ses joueurs , ZAZ , EL GHAZOUANI , lABSSIR ,DLIMI,BOUCHAIB, KHALIFA, BOUASSA et NOUMIR ect..; la boxe éducative assaut et la boxe amateur et professionnel sans le père ZAROUKI ,DAOUI , EL GHAZOUANI ,NAFIL, DOURASSE, FEZA, SOUIHI ,CHAKSSI , ACHIK . MAAZAOUI , LAHMAR HASSAN ALLAH YARAHMOU ect…Toutes ces stars sont le produit de ce quartier et en sont fiers.
C’est d’ailleurs au Hay Mohammadi que jaillira l’étincelle qui allumera la résistance contre l’occupant français, en 1953 (avec la révolte des Carrières centrales), après l’exil du Roi Mohammed V, et, pour lui rendre hommage, c’est le premier quartier casablancais où il se rendit après son retour. La bâtisse Jamaâ Al Malik (mosquée du Roi) .
C’est à Hay Mohammadi que se constitue le noyau de la classe ouvrière marocaine
Pour bien comprendre l’âme de ce quartier, il faut faire un rappel de son histoire. Hay Mohammadi est né dans les années 20, à la faveur de la construction des premières usines de Casablanca. Les plus connues sont celles de Cosumar (qui produit du sucre), les cimenteries Lafarge (appelées «Chapeau») et les ateliers des chemins de fer. Des dizaines de milliers de paysans fuyaient à l’époque la campagne et la sécheresse qui sévissait pour se déverser dans la ville, s’installant à proximité des usines. Ils venaient de toutes les régions du Maroc, des R’hamna, des Abda, des Doukkala, de Tanger, de Tétouan, voire du Sahara : ils constituèrent le premier noyau de la classe ouvrière marocaine. Dénominateur commun de tous ces gens: la pauvreté. Si ce n’était pas dans des baraques en tôle ondulée, c’était dans des chaumières modestes que ces familles s’installaient, dans ces petites cités qui constitueront le grand quartier de Hay Mohammadi, comme Soussica, Dar Lamane, Bechar El Kheir, Al Koudia, Derb Moulay Cherif... Ceux qui n’avaient pas la chance d’être recrutés comme salariés dans les usines avoisinantes, étaient vendeurs à la sauvette, d’eau, d’eau de javel ou de fringues d’occasion achetées dans les quartiers riches de la ville, comme Roches Noires ou le Mâarif. Hassan se souvient particulièrement de ces femmes, toutes veuves, toutes pauvres, qui s’affairaient sur leurs machines Singer pour recoudre les effets usés des habitants.
Quelques lieux mythiques structuraient la géographie urbaine du Hay, d’où sont sorties les premières élites politiques, culturelles et artistiques du quartier : Dar Chabab (la maison des jeunes), le cinéma Saâda et le dispensaire du même nom où tous les habitants du Hay se faisaient vacciner et soigner, le terrain «Al Hofra» où évoluait l’équipe du TAS, l’école Al Ittihad (l’union) et l’école Carrières centrales.

mercredi 9 septembre 2009

Association des Anciennes Stars de TAS

SOUIHI,
J’aimerais être pour toi l’ami que tu as été pour moi. J’aimerais te donner le soutien que tu m’as toujours apporté avec joie. Je voudrais, à chaque instant de la journée, compter pour toi autant que tu comptes pour moi, toi mon ami de toujours.

J'apprécie l'ami qui, pour moi, trouve un moment libre dans son agenda; mais plus encore celui qui, pour moi, ne prend pas la peine de le consulter.

Je fais confiance à un ami; il me montrera la route qui mène vers la lumière.

Je n'ai pas d'ennemis quand ils sont malheureux.

Je suis plusieurs en moi-même... suivant les lieux, les sens... Mais une amie m'a fait découvrir qui j'étais réellement. Simplement merci à toi, mon amie.

Jusqu’à la fin notre corps est notre meilleur ami.

dimanche 6 septembre 2009

Ramadan mob arak Karim


A l’occasion du moi Ramadan mob arak Karim
Je vous offre un modeste cadeau symbolique du fond de mon cœur et de mon âme et ce à travers des meilleurs vœux avec une bonne santé et réussite dans votre domaine sportif et professionnel avec prospérité dans vos relation sentimentales, et pour vous ainsi qu’a tous les membres de votre famille et vos amis.
Pour le reste du monde « je souhaite également du fond du mon cœur et Ame »que tous les peuples remplacent leur délimitation de frontières par des implantations des rosiers, et faire au moi Ramadan mob arak Karim ,une année de paix et de transformer de recherche pour inventer ou réaliser tout ce qui est bien pour l’humanité sans frontière d’origine de culture,de langue,ou de religion.
Ce message universel doit être transmis à vos amis (surtout les plus intimes). Pour faire le tour du monde. De ce fait participer à la paix et à la justice sociale à l’échelle internationale (sans aucun idiologie

mercredi 29 juillet 2009

Frére ACHIK

Le bonheur le plus doux est celui qu'on partage
l'amélioration du geste technique qui est un élément important de la pratique du shadow, le boxeur et l'entraîneur de boxe mettent en pratique et depuis longtemps, bien avant qu'elle ne soit "à la mode", une méthode de préparation mentale, l'imagerie mentale. En effet l'une des consignes dans la pratique du shadow est d'imaginer l'adversaire, de le visualiser, de visualiser ses stratégies, et d'y apporter des réponses tactiques. Il s'agit donc bien d'entrer dans une phase de préparation mentale active.
La préparation mentale intervient ici dans l'approche du combat, de l'opposition, d'une amélioration sensitive (parfois visuelle avec la glace) des gestes techniques, d'une réflexion sur les stratégies tactiques que l'on peut mettre en place ou auxquelles on peut apporter une réponse (tactique adverse).
La boxe est donc un sport qui utilise depuis fort longtemps et avec efficacité une technique de préparation mentale qui tient compte des spécificités techniques et tactiques.

mardi 28 juillet 2009

Le Coach SOUIHI Abdel

La préparation physique en Boxe et sur lequel je me suis appuyé pour les exigences structurelles et énergétiques.

Numération des qualités requises par la discipline lors d’un combat

Schématiquement on peut dire qu'un combat est une succession (sur une durée de 2 minutes) de frappes explosives isolées ou enchaînées (2 à 4 coups en moyenne), délivrées par les poings, entrecoupées par des phases de récupération active (déplacements/récupération, préparation d'attaques, phases défensives) et des phases de récupération passive (minute de repos).

Cela inclus des exigences sur les plans énergétiques et fonctionnels, non seulement pendant le combat par lui-même, mais aussi pendant l'entraînement visant à développer ces qualités nécessaires.

-Maintenir un niveau d'intensité d'effort élevé pendant la reprise en cours

-Filière anaérobie lactique

- Maintenir un niveau d'intensité d'effort élevé durant toute la rencontre

-Filière puissance aérobie et zone mixte aérobie - anaérobie lactique

- Maintenir un niveau de frappes explosives (frappes isolées et enchaînements brefs) le plus élevé possible

-Endurance de force vitesse spécifique sur les groupes musculaires Deltoïdes - Triceps - Biceps - Pectoraux, Quadriceps - Ischions jambiers - Fessiers et Abdominaux – Lombaires

- Maintenir des déplacements toniques spécifiques

-Endurance de force pli métrique des muscles de la cheville

- Maintenir une position de garde efficace

-Endurance de force isométrique des muscles de l'épaule et des bras

- Posséder une robustesse musculaire permettant de se protéger des frappes adverses

-Structure musculaire générale et en particulier sangle abdominale et rachis cervical

- Etre rapide et précis lors des phases de contres, de contre-attaques et d'attaques

-Vivacité, vitesse gestuelle et coordination spécifique

-L'effort engendré par un combat de ne fait pas intervenir la filière capacité aérobie; néanmoins le développement de celle-ci est indispensable pour que l'athlète puisse

Supporter des entraînements répétés et intenses tout au long de la saison.

Vous en souhaitant bonne réception, nous vous prions d'agréer, l'expression de nos sentiments dévoués.

lundi 20 juillet 2009

T.A.S PLUS BOXE


SOUIHI ABDERRAHIM : L’ambition de plaire
À l'attention de tous mes amis du Maroc
L’ASSOCIATION DE L’ITIHAD AL BIDAOUI DE CASABLANCA, UNE ASSOCIATION DEPUIS LONGTEMPS MAJEURE

Dire que le T.A.S est l’une des plus importantes associations de la région, ne constitue absolument pas une information.
Quantitativement par ses effectifs, ses sections et ses groupes, le T.A.S peut se vanter d’avoir placé, qualitativement parlant, un nombre important de membres sur les marches les plus hautes des podiums. La section « boxe anglaise » créée par Mr Haj HARFI Gazouini en 1972 devint rapidement l’un des principaux clubs de Provence de Chaouia. Au plan national d’ailleurs, et concernant les amateurs, le T.A.S a su placer les siens au tableau des championnats internationaux. Il est important de ne pas négliger le plan professionnel où les membres du T.A.S ont pointé également au plus haut niveau, par exemple : plusieurs finales du championnat du Maroc, d’Afrique disputées et souvent remportées par des membres du T.A.S et à cela s’ajoute des participations très remarquées aux jeux olympiques. En fouillant dans les mémoires de ces 30 dernières années et sans vouloir faire une énumération complète, on peut citer les principaux pratiquants ayant marqué leur passage au T .A.S. Ainsi, on peut citer : SOUIHI Abderrahim, MAHZAOUI Mohamed, HAKAOUI Ahmed ,SIFSALLAM Hamid, FAZA Mohamed, NAFILBouchaîb, AOUIJ Jilali.
nous avons bien la preuve que ce club du T.A.S a donné naissance à bon nombre de champions ….
Casablanca sans son légendaire Hay Mohammadi serait comme une femme belle mais insipide. La ville blanche serait une agglomération sans âme. Le quartier qui abrite les Carrières centrales a sans conteste largement contribué à façonner le paysage culturel et social de la ville, voire de tout le Maroc. On n’imagine pas la chanson populaire marocaine sans les emblématiques Nass El Ghiwane, Lamchaheb, Tagadda ; le cinéma sans le talentueux Mohamed Miftah ; la chorégraphie sans Lahcen Zinoun ; le football sans l’équipe du TAS et ses joueurs Bouassa et Noumir ; la boxe sans SOUIHI ABDERRAHIM. Carrière ? … Ayant commencé la boxe à 18 ans, je suis devenu champion du Maroc 10
Ans Passe pro en 1984 en France <>: 34 combats, 25 victoires, 2 nuls, 7 défaites, plus tard.
Ce n’était pas prévu au départ. Je n’ai peut-être pas suffisamment défendu mon
bifteck financièrement. Je le regrette un petit peu, pas énormément.
Probablement parce que je ne suis pas un homme de conflit
je pense que nous pourrons aussi avancer sur ces voies au cors de la saison que commence et nous aurons toujours besoin de personnes bénévoles, de bonne volonté mais animés du souci d'accéder à l'excellence, la labellisation.
Je suis devenu entraîneur de mon équipe a la salle leyrit PUGILIST CLUB NICOIS pour faire carrière aux jeunes et gravir les échelons de boxe. Toutes ces stars sont le produit de ce quartier et en sont fiers.